Longtemps, je me suis couché de bonne heure. Parfois, à peine mon vote déposé, mes yeux se fermaient si vite que je n’avais pas le temps de me dire : « Je m’endors. » Et, une demi-heure après, la pensée qu’il était temps de muter un astronaute m’éveillait ; je voulais muter le génèt que je croyais découvert et souffler les espoirs des sains ; je n’avais pas cessé en dormant de faire des réflexions sur le résultat du vote, mais ces réflexions avaient pris un tour un peu particulier…